Avez-vous déjà vu...?
07/05/2011 19:47 Rangé dans: Préparatifs
... des chinois et des japonais se faire des bisous ? Au vu des tensions entre les deux pays, c’est pas toujours gagné, alors je me suis amusé.
La semaine dernière, j’ai été faire du change de mes billets... Conversation à la « Dîner de cons » ^_^
Moi : « Bonjour, je souhaiterais avoir 20 000 ￥(prononcé : ‘iènne’ ) et 2000 元 (prononcé : ‘uènne’ ) »
La madame : « Ah ! Vous souhaitez 22 000 ￥, alors ? »
Au niveau des explications, c’était un peu juste (« Leblanc ? Bah, il a pas de prénom, alors ? » )
Bref, je récupère mes billets, donc le Grand Timonier, l’ami de toujours, Mao Tsé-Tong. Ouais, je sais, je dis des trucs gentils parfois, mais bon pensez que je vais en Chine, je veux pas d’emmerdes avec le Chinese Firewall, moi ! (En parlant de firewall, Christine, si tu me lis...). L’autre Pékin (pourtant japonais, ahahaha, je me gausse (comme le Pivot, encore du LOL ! ^^)), bah, il s’agissait de Yukichi Fukuzawa sans doute aussi connu chez les nippons que Les Musclés chez nous pour les moins de 10 ans et dont l’unique but dans la vie était d’apparaître sur les billets de 10 000 (euh, Fukuzawa, hein ! Parce que les Musclés, honnêtement 10 000 euros, ça fait longtemps qu’ils ont pas dû en voir...). Mais bon, si tu es le billet de 10 000, tu en as dans le slip, tu claques, tu peux devenir un Maître Pokemon, et surtout tu fais pêter les stats de Wikipedia France de tous les gens qui se disent : « Euh, c’est qui le mec sur le billet de 10 000 ￥ ?? »
Bref, en rentrant, je me suis amusé avec mes potos Mao et Fukuzawa, car comme ils étaient dans la même poche, j’ai pensé que sans doute, la promiscuité aidant, ils se faisant des choses...
Mao : « Salut, grand brun »
Fukuzawa : « Viens près de moi, n’ai pas peur... »
Mao : « Kyaaa ! Pas avec la langue, je ne veux pas tomber enceint !! »
Et puis, ensuite j’ai subi une remarque de mon voisin dans le train : « Téma, l’autre, il joue avec des billets de Monopoly... » O_o
Ah la la, Fukushima... Non, Fujiwara... Non, « Monsieur sur le billet de 10 000, pardonne-lui, il ne sait pas ce qu’il dit... »